La frontière haitiano-dominicaine e

La frontière haitiano-dominicaine est un espace d’intenses échanges, de grands mouvements de population, mais aussi de conflits constants. Beaucoup de femmes sont impliqués dans les échanges soit comme commerçantes, comme migrantes ou tout simplement comme résidentes des communautés frontalières. Elles font souvent victimes de situations où leurs droits sont violés que ce soit en territoire haïtien ou du côté dominicain. La faiblesse de la gestion de la frontière par les autorités, le manque d’insistance sur certaines valeurs démocratiques comme référence pour les comportements individuels et collectifs, le manque de connaissance de beaucoup de femmes de leurs droits, sont autant de facteurs expliquant pourquoi elles sont souvent les premières victimes. D’un autre côté, face à l’impunité par rapport à certains actes, en particulier la violence contre les femmes, des jeunes ont tendance à assimiler certains comportements à la normale et à les reproduire.
Depuis 2008, le GARR a initié un travail de sensibilisation et de renforcement des capacités des femmes frontalières qui a commencé à porter fruit. Des catégories marginalisées s’affirment de plus en plus, des groupes de femmes impliquées dans le travail à la frontière ont été créés, de plus en plus de secteurs sont conscientisés sur la problématique de la violence de genre et participent à la lutte pour l’éradiquer. Mais la frontière est très vaste et certaines zones sont peu couvertes et le respect des droits des femmes n’est pas encore entré dans les mœurs de tous les groupes. En 2012, le projet de protection et de renforcement des capacité des femmes appuyé par NCA et le Ministère des Affaires Etrangères de la Norvège a permis de renforcer les efforts d’organisations des femmes qui sont souvent victimes de violences, notamment les marchandes et des femmes violentées, d’initier un travail de sensibilisation dans une nouvelle zone qui est le Haut Plateau Central, de renforcer la collecte des données sur les cas de violence de genre à la frontière, d’initier un travail de sensibilisation auprès des hommes, de fournir un meilleur accompagnement aux femmes victimes ou appartenant à des groupes vulnérables et de renforcer les liens avec des organisations de l’autre côté de la frontière qui font le même genre d’interventions. Ce travail vise à créer les conditions pour que les femmes puissent évoluer tant du côté d’Haïti que dans les échanges avec la République Dominicaine dans un environnement libéré de toute forme de violence ou de menace à leurs égards. Ce travail doit donc se consolider et s’étendre à d’autres zones de la frontière, en tenant compte de certaines spécificités et nouvelles données apportées par la réalité.

Résultats (Français) 1:

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Résultats (Français) 2:

La frontière haïtiano-dominicaine est un espace d'échanges intenses, deux de la population de grands mouvements de, mais aussi des conflits constantes. Beaucoup de femmes sont impliqués dans les échanges être comme commerçantes, comme migrantes vous tant seulement comme résidentes des communautés frontalieres. Serait la police souvent victimes de la vie où leur homme sont violés que cela soit en territoire haïtien trop vous du côté dominicain, mon. La faiblesse de la gestion de la frontiere par gouvernementale, quand besoin d'insistance sur certaines valeurs démocratiques comme la référence (numéro de téléphone) pour les comportements individuels et collectifs, quand besoin de connaissance de beaucoup de femmes de leur homme, sont autant que deux facteurs expliquant pourquoi serait l'est souvent les premières victimes. D'une autre côté, avant de volonté j'ai impunité par le rapport de certains actes, dans la violence en particulier contre les femmes enceintes, les jeunes ont la tendance assimiler certains comportements à l'Ecole normale et la reproduire. Acheter depuis 2008, Lorsque le GARR initié un travail de sensibilisation et renforcement des capacités des femmes frontalieres que le fruit de porter commencé. Aider des catégories marginalisées s'il vous plaît affirment de plus en plus, des [?] de v de femmes dans le travail à la frontiere ont créés, nous n'avons pas de quoi que ce soit, du quartier de plus en plus de sont conscientisés à la problématique de la violence de genre et participent au vous à pied et laisser derrière pour l'éradiquer. Mais la condition de la frontiere est très vaste et certaines zones sont couvertes de bit et les respect des humains des femmes n'est pas encore trouvé entre prolongement dans les mœurs de tous les [?]. En 2012, Lorsque le projet de protection et de renforcement des capacité des femmes appuyé par NCA et ministre des Affaires étrangers de la la Norvege conduisant à renforcer les efforts déployés par les femmes des organisations internationales qui sont souvent victimes de violences, notamment les marchandes et femmes violentées, d'initier un travail de sensibilisation dans une nouvelle zone qui est le plateau de haut Central faible, des renforcer collecte des données sur le cas du genre de violence deux à la frontiere, d'initier un travail de sensibilisation aupres des hommes, deux offrent un meilleur accompagnement de téléphone les victimes femmes vous l'appartenant des vulnérables [?] et renforcer les liens avec des organisations internationales de l'autre frontiere Problemas de côté cette police quand même genre d'interventions. Cela fonctionne la vis créer. Quelles sont les conditions que l'enceintes puissent évoluer tente du côté d'Haïti qui dans les échanges avec la République Dominicaine dans des environnements, libéré de toute forme de violence vous deux la menace leurs égards. Ce travail doit donc est vous rencontrer comme bientôt et s'il vous plaît l'étendre d'autre zones de la frontiere, dans le compte de certaines spécificités et de nouvelles données apportées par la réalité. acheter